Je pratique la kinésiologie car je vois trop de gens vivre dans la douleur ou une tristesse quotidiennes.
Devenir kinésiologue n’a pas été une décision soudaine. C'est le fruit d’un parcours riche en prises de conscience et en rencontres déterminantes.
J’ai vu trop souvent des personnes freinées par des douleurs chroniques, du stress, un mental trop présent sans réponses vraiment satisfaisantes. On traite souvent la surface, rarement la racine.
Ce qui m’a guidée vers la kinésiologie: cette volonté d’aller en profondeur, de comprendre ce que le corps exprime, et d’agir là où le déséquilibre commence. J’aime cette approche, à la fois douce, précise et puissante, parce qu’elle permet de débloquer ce que d’autres méthodes laissent de côté.
Ce métier me passionne parce qu’il a du sens. Accompagner quelqu’un vers un soulagement durable, voir son visage s’éclairer, retrouver de la légèreté et de l’autonomie… c’est un privilège. Et c’est ce qui m’anime, jour après jour, dans ma pratique.
Quelques mots sur mon parcours
De la Marine à la kinésiologie, un fil rouge d’écoute et d’engagement
Avant de devenir thérapeute, j’ai passé 19 ans dans la Marine nationale, où j’ai exercé dans les ressources humaines. Ce parcours m’a appris la rigueur, l’écoute, et l’importance d’être présent pour les autres. Des qualités qui résonnent profondément aujourd’hui dans ma pratique.
Après cette carrière, je me suis formée en psychothérapie, pour accompagner les personnes dans leur cheminement émotionnel. Mais rapidement, j’ai ressenti le besoin d’aller plus en profondeur, de trouver une approche plus globale. C’est ainsi que la kinésiologie s’est imposée comme une évidence : elle agit à la racine, en tenant compte du corps, des émotions et de l’énergie.
Aujourd’hui, je mets au service de chaque séance cette double expérience: celle du terrain, et celle de la thérapie. Chaque accompagnement est pour moi l’occasion d’ouvrir un nouvel espace de compréhension, de soulagement et de transformation.